Fukushima a été l’accident nucléaire le plus important depuis Tchernobyl. Si la catastrophe ukrainienne de 1986 avait abouti à des changements radicaux en matière de gouvernance nucléaire à l’échelle internationale, qu’en est-il de l’accident japonais ? A-t-il remis en cause les modes de gouvernance ?
Ce 23 octobre débute à la Cité des Congrès de Nantes, la 3ème conférence internationale du projet AGORAS qui associe IMT Atlantique, l’IRSN, Mines ParisTech, Orano et Sciences Po pour comprendre les conséquences de Fukushima sur la filière nucléaire française.
Dans une interview à l'I'MTech, Stéphanie Tillement, sociologue au département sciences sociales et de gestion d'IMT Atlantique présente les résultats du projet AGORAS qui s'achève après 6 ans de recherches.
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https://agoras2019.sciencesconf.org/
par Fabienne MILLET-DEHILLERIN