Laboratoires communs

9 laboratoires communs

Un mode de collaboration avec un partenaire industriel qui présente bien des avantages pour le traitement de problématiques nécessitant des efforts à moyen et long terme (4 à 5 ans ou plus).

Que ces laboratoires communs disposent de locaux affectés en propres ou qu'ils utilisent les locaux communs des parties prenantes, ces laboratoires constituent des structurations fortes liant public et privé.

 

  • Lab'Optic créé en 2024, est le fruit d'une collaboration de longue date entre 3 écoles d'ingénieurs : IMT Atlantique, L'ENIB, l'ENSSAT avec Orange. Ce laboratoire commun est dédié aux télécommunication optiques et parmi 3 axes de recherche prioritaires, une vingtaine de chercheurs travailleront sur l'accroissement de la capacité de transmission des réseaux de transport optique pour internet.
  • Lab.SCHC créé avec Actility en 2024 autour de la norme internationale SCHC (Static Context Header Compression) une technologie internet inventée au sein du département SRCD d'IMT Atlantique en 2012. La SCHC est une méthode innovante de fragmentation et de compression des en-têtes utilisées pour les réseaux basse consommation comme les objets connectés.
  • Le laboratoire commun ADMIRE ("Apprentissage profond Distribué pour la classification de données Multimodales, Incertaines et Rares en ophtalmologiE"), sélectionné comme LabCom en 2019 par l’ANR, vient renforcer la collaboration du laboratoire LaTIM Inserm UMR1101/UBO avec l’entreprise Evolucare Technologies. L’objet du partenariat est le développement d’algorithmes innovants pour le dépistage des différentes pathologies oculaires ou visibles à travers l’œil (cardiopathies, neuropathies, etc.); algorithmes respectueux du droit à la vie privée des patients.
  • ATOL (Aeronautics Technico-Operational Laboraty) : Depuis 2005, c’est un laboratoire commun dédié principalement au prototypage Interface Homme Machine avec comme partenaires l’Ecole Navale, Thalès Systèmes Aéroportés et Thales Underwater Systems.
  • CRC-Lab avec la société 4S Network et sa filiale CRC Services financé par l’ANR, visent à optimiser les transports de marchandises en présence d’aléas. Ce laboratoire s’appuiera sur des techniques de recherche opérationnelle et de sciences des données, pour améliorer la plateforme CoLivRi, l’outil de pilotage de réseau de transport développé par CRC Services. Le laboratoire sera hébergé au DAPI (équipe modelis du LS2N). 
  • LATERAL (Labsticc Thales researchalliance on Smart On-board Sensor ) avec Thalès-antennes actives 3D pour les nouvelles générations d’auto-directeurs RF et ce basé sur les nouvelles technologies additives.
  • SEPEMED (SEcurity & Processing of Externalized MEdical image Data), laboratoire commun avec la Société MEDECOM et le LaTIM Inserm UMR 1101/IMT Atlantique, et labellisé LabCom par l'ANR de 2016 à 2018, aborde les problèmes clés de sécurité des données et de traitement de l’information et de la communication dans le domaine de la santé, nécessaires au déploiement de la télémédecine et du « Cloud médical ».
  • TESMARAC Le laboratoire SUBATECH (UMR 6457 du CNRS, IMT Atlantique, Natnes Université), et la société TRISKEM INTERNATIONAL ont créé ce laboratoire commun (LabCom) avec le soutien de l’Agence Nationale de la Recherche (ANR) pour mettre au point de nouvelles résines et de nouvelles méthodes de séparation de radioisotopes, en particulier dans les milieux complexes. Les enjeux du Labcom TESMARAC sont la classification et la gestion des déchets radioactifs, la revalorisation des matériaux, l’évaluation de l’impact de la radioactivité sur l’homme et l’environnement et la fabrication des radionucléides à des fins médicales (diagnostique et thérapie).
  • Lab-CIS est un laboratoire commun de IMT Atlantique et du Groupe d’ingénierie mondial SEGULA Technologies.

    Il a pour objectif l’étude et le développement de nouvelles technologies, dans les domaines de l’environnement et des énergies renouvelables. Il vient renforcer un partenariat de plusieurs années sur le stockage d'énergies par compression d'air par piston liquide, dans le cadre du projet REMORA, et l'ouvre à de nouvelles problématiques dans le domaine du traitement des fluides.